Le salon de la copropriété aujourd’hui et demain à Paris
Pour booster le rendement locatif, bonne gestion du bail ET contrôle de la gestion des parties communes vont de pair.
Pour booster le rendement locatif, bonne gestion du bail ET contrôle de la gestion des parties communes vont de pair.
Ca ne va pas arranger les affaires de la ministre du Logement… à moins que les rumeurs d’allègement prochain des contraintes deviennent réalité !
Ce monde de méchants propriétaires et de gentils locataires qui est à la base de la réforme envisagée n’existe pas !
Il est vrai qu’il y a de quoi déprimer un peu lorsque l’on voit toutes les contraintes réglementaires et fiscales qui ont concerné l’immobilier ces derniers mois (et dans les mois à venir !) et qui ne vont pas dans le sens d’une augmentation du rendement du placement pierre…
Pas de quoi, tout de même, tourner le dos à cet actif ! L’investissement immobilier conserve des avantages non négligeables.
Bien sûr, les pouvoirs publics sont dans leur rôle quand ils informent les citoyens de leurs actions. Mais le sont-ils quand ils annoncent de futures réglementations dont les contours ne sont pas encore précisés ?
Pour les biens de petites superficies et situés en ville, passer à la location meublée peut permettre d’augmenter la rentabilité locative de 10 à 25 % selon les cas.
Désormais en charge du projet du Grand Paris, Cécile Duflot, la ministre du Logement et de l’Egalité des Territoires, s’est exprimée en faveur du maintien du projet, comme l’avait promis François Hollande lors de la campagne présidentielle.
Alors que la période est difficile pour les bailleurs, il reste un secteur qui ne connait pas la crise : celui de la location saisonnière. Non seulement sa fiscalité reste avantageuse, mais elle est aussi de plus en plus dans l’ère du temps.
Face à un marché locatif classique qui ne tient plus toutes ses promesses en terme de rentabilité locative, l’investissement dans des places de parking représente une excellente alternative. A condition de respecter les bons critères, le bénéfice est assuré.
Marquée par une échéance électorale et une économie déprimée, l’année 2012 voit le dynamisme du marché locatif privé accuser le coup. Vraie tendance ou situation provisoire, pour l’heure, rien n’est sûr.