De la location vide au meublé : modus operandi
Pour les biens de petites superficies et situés en ville, passer à la location meublée peut permettre d’augmenter la rentabilité locative de 10 à 25 % selon les cas.
Pour les biens de petites superficies et situés en ville, passer à la location meublée peut permettre d’augmenter la rentabilité locative de 10 à 25 % selon les cas.
Alors que la période est difficile pour les bailleurs, il reste un secteur qui ne connait pas la crise : celui de la location saisonnière. Non seulement sa fiscalité reste avantageuse, mais elle est aussi de plus en plus dans l’ère du temps.
Souvent considéré à tort comme une simple formalité, l’état des lieux, lorsqu’il est établi correctement, permet d’éviter les litiges éventuels qui peuvent survenir au terme d’un bail entre propriétaire et locataire.
Prix de la pierre élevé, rendements locatifs en berne… Dans un contexte immobilier peu engageant, investir dans les résidences de services dédiées aux personnes âgées représente une bonne alternative. Un secteur porteur qui allie fiabilité et rentabilité assurée.
Si l’investissement locatif est un excellent moyen de se constituer un patrimoine, il n’est toutefois pas exempt de risques. En effet, l’opération réclame de répondre à un cahier des charges pour en éviter les nombreux écueils.
Avantages fiscaux, vacances locatives et risques d’impayés limités, la location aux étudiants se révèle un bon choix pour les bailleurs. A condition de respecter les quelques critères requis, la rentabilité locative est assurée.
Les revenus locatifs ne sont pas régis par les mêmes lois selon qu’il s’agit de locations de biens vides ou meublés, du montant des loyers perçus ou encore des éventuels avantages fiscaux dont le propriétaire a bénéficié pour son investissement.
Alors que doit déclarer un propriétaire-bailleur selon sa situation et quelles charges sont déductibles ? Mode d’emploi.
Pas facile d’être syndic à l’heure actuelle puisque selon une récente étude menée par l’association CLCV (Consommation Logement et Cadre de Vie), un copropriétaire sur deux demeure insatisfait de sa prestation. Cependant, l’enquête démontre que le syndic n’est pas seul responsable de cet état de fait.
Longtemps réservée aux étudiants, la colocation se développe et intéresse désormais la classe moyenne. Si elle présente un avantage financier non négligeable pour les locataires, elle s’avère surtout très favorable aux bailleurs.
Le député UMP, Christian Estrosi, a soumis à l’assemblée Nationale, le 20 mars dernier, une proposition de loi visant à généraliser une garantie locative universelle. L’objectif : assouplir le marché locatif privé. L’occasion de faire le point sur ce qui existe aujourd’hui et ce qui est envisagé pour demain.