Loi Duflot : stop au manichéisme
Ce monde de méchants propriétaires et de gentils locataires qui est à la base de la réforme envisagée n’existe pas !
Ce monde de méchants propriétaires et de gentils locataires qui est à la base de la réforme envisagée n’existe pas !
Bonne nouvelle si l’idée n’est effectivement pas d’actualité ! Car ce qui est aujourd’hui présenté comme une rumeur infondée par La Ministre du Logement, avait de quoi soulever contestations et inquiétudes.
Le rapport Gallois a qualifié de "confortable" l’investissement immobilier, justifiant ainsi les différentes taxations que se voient imposer les propriétaires ; La dernière (taxation sur les plus-value en hausse) venant de voir le jour ! Injuste et faux !
Selon une étude récente réalisée par l’institut Ipsos, les Français restent aussi pessimistes quant à l’évolution de la situation du logement que sceptiques concernant l’efficacité et le nombre de mesures promises par le gouvernement pour sortir de la crise. Explications.
Développer le parc de logements sociaux : la solution pour répondre à la problématique de logement des salariés ?
Par Richard Horbette, fondateur de LocService.pro
Si la mort du dispositif Scellier annoncée pour la fin de l’année est maintenue, la ministre du Logement, Cécile Duflot, vient d’annoncer qu’il renaîtra de ses cendres en 2013 sous une nouvelle forme.
Plus avantageux fiscalement pour les propriétaires, cette loi dite « Duflot » sera aussi plus astreignante « en terme d’exigences sociales ». Explications.
Pour les biens de petites superficies et situés en ville, passer à la location meublée peut permettre d’augmenter la rentabilité locative de 10 à 25 % selon les cas.
Dans son rapport annuel publié le 2 juillet dernier, la Cour des Comptes dénonce la politique du logement de l’Etat. En ligne de mire, les dispositifs d’aides et autres avantages fiscaux, jugés à la fois trop coûteux et peu efficaces. Bilan et préconisations.
Face à un marché locatif classique qui ne tient plus toutes ses promesses en terme de rentabilité locative, l’investissement dans des places de parking représente une excellente alternative. A condition de respecter les bons critères, le bénéfice est assuré.
Marquée par une échéance électorale et une économie déprimée, l’année 2012 voit le dynamisme du marché locatif privé accuser le coup. Vraie tendance ou situation provisoire, pour l’heure, rien n’est sûr.
Alors que la taxation sur les plus-values immobilières vient à peine d’être réformée par l’ancien gouvernement, elle devrait à nouveau être modifiée sous l’ère socialiste pour revenir à une fiscalité plus favorable aux vendeurs.
Malgré un prix de l’immobilier en forte augmentation ces dernières années, investir dans la pierre reste une valeur sûre pour se constituer un patrimoine ou un complément de revenus qui pourrait être bienvenu une fois la retraite arrivée.
Si l’investissement locatif est un excellent moyen de se constituer un patrimoine, il n’est toutefois pas exempt de risques. En effet, l’opération réclame de répondre à un cahier des charges pour en éviter les nombreux écueils.
40% des entreprises se disent affectées par les difficultés de logement de leurs salariés, selon une étude du Credoc.
En effet, la crise du logement en France est en train d’impacter un marché de l’emploi, déjà lui-même fortement affaibli. Les entreprises réagissent.
15 000 euros, c’est le montant de l’amende prononcée, le 5 avril dernier, par le TGI à l’encontre d’un bailleur pour avoir loué à des touristes quatre appartements dédiés à l’habitation. Une décision qui pourrait bien mettre fin à un phénomène qui a pris une ampleur considérable dans la capitale.
Malgré la promesse de campagne de porter à 500 000 le nombre de constructions neuves annuelles, tous les indicateurs sont passés au rouge dès le premier trimestre 2012. Et les promoteurs sont loin d’être optimistes quant à une amélioration du marché sans l’annonce rapide de mesures.
Après des annonces aussi nombreuses qu’ambitieuses sur la question du logement, il s’agit maintenant pour François Hollande, désormais en charge des plus hautes fonctions de l’Etat, de transformer ses promesses en actes.
Avantages fiscaux, vacances locatives et risques d’impayés limités, la location aux étudiants se révèle un bon choix pour les bailleurs. A condition de respecter les quelques critères requis, la rentabilité locative est assurée.
Les revenus locatifs ne sont pas régis par les mêmes lois selon qu’il s’agit de locations de biens vides ou meublés, du montant des loyers perçus ou encore des éventuels avantages fiscaux dont le propriétaire a bénéficié pour son investissement.
Alors que doit déclarer un propriétaire-bailleur selon sa situation et quelles charges sont déductibles ? Mode d’emploi.
A l’approche du second tour de l’élection présidentielle, la polémique autour des droits de mutation est remise sur le tapis.
Compte tenu de la baisse des prix de l’immobilier qui s’est généralisée en France et d’une offre locative souvent lacunaire, investir en province peut s’avérer judicieux. Surtout pour les bailleurs qui tirent le meilleur parti de cette nouvelle donne.
Longtemps réservée aux étudiants, la colocation se développe et intéresse désormais la classe moyenne. Si elle présente un avantage financier non négligeable pour les locataires, elle s’avère surtout très favorable aux bailleurs.
Le député UMP, Christian Estrosi, a soumis à l’assemblée Nationale, le 20 mars dernier, une proposition de loi visant à généraliser une garantie locative universelle. L’objectif : assouplir le marché locatif privé. L’occasion de faire le point sur ce qui existe aujourd’hui et ce qui est envisagé pour demain.
L’investissement locatif reste une option de placement privilégiée d’autant qu’il était jusque-là encouragé par un ensemble d’avantages fiscaux consentis par l’Etat. Hélas pour les futurs acheteurs, ces aides publiques ont été réduites comme peau de chagrin en 2012.
Avec une baisse de 0,1 % enregistrée depuis le début de l’année par l’Observatoire Clameur, le marché locatif privé national subit les retombées d’une situation économique morose, qui a ralenti la demande.